sus scrofa
la chasse étant suspendue depuis trois semaines, et pour quelques mois, nous avons l’occasion de voir ce type de charmantes bestioles de façon plus inattendue...
étonnant, non ?
alors ? le sanglier : ravageur de culture ou "ingénieur de l’environnement"
une polémique loin d’être éteinte...
à l’occasion des journées mondiales pour la préservation des zones humides, il y avait "journée porte ouverte" à la tour du valat, en camargue.
voici les propos qui m’ont été rapportés par une personne bien renseignée...
d’un côté, on leur reproche de saccager les cultures.
de l’autre, on se pose la question de savoir si ces saccages ne seraient pas entretenus afin de faire valoir ses droits à indemnisation, pas le biais de points de nourrissage judicieusement placés...
et par la même occasion, de venir accuser les acteurs de la préservation de l’environnement d’entretenir ces saccages au travers de la création des réserves naturelles. zones dans lesquelles la chasse est proscrite.
questionnant en tous cas.
les uns profitent de la présence du sanglier pour organiser des chasses commerciales.
d’autres encore réclament des dédommagements sonnants et trébuchants.
et au milieu de tout cela, des naturalistes, aidés par des équipes de chercheurs tentent d’y voir un peu plus clair, tout en protégeant une espèce...
certes le problème est complexe et le sanglier cause des dégâts dans les cultures.
mais est-il le seul responsable ?
ceci petit paragraphe n’est pas volontairement provocateur.
il est le fruit d’une réflexion personnelle que j’offre à la discussion au sein de cette plateforme.
pour les personnes qui auraient d’autres points de vue, allez-y, je suis preneur
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