La sieste du coq et de sa poule rousse

Publié par krist29

le 02/07/2010

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Description

La poule, coq, poulet domestique (Gallus gallus domesticus) est un oiseau de l’ordre des galliformes.

Ce gallinacé est élevé à la fois pour sa chair dans quel cas le terme générique pour le désigner est volaille, pour ses œufs, et parfois pour ses plumes.

Il existe de nombreuses races, sous-espèces principalement issues de la domestication d’une espèce sauvage particulière, le coq doré.

Le mâle de la poule est le coq. Un jeune est appelé poussin et un pré-adulte mâle est appelé coquelet puis devient poulet ; un poulet femelle est une poulette. Un jeune coq châtré pour que sa chair soit plus tendre est un chapon, une poulette à laquelle on a ôté les ovaires pour le même motif est une poularde. Chapons et poulardes sont plus corpulents et ont une chair plus grasse que leurs équivalents non castrés.(infod donné par un éleveur)

Cette sous-espèce, bien que d’origine tropicale, a une répartition géographique très large, due à l’action de l’Homme. Elle s’adapte à une multitude de milieux, si l’on excepte les hautes latitudes, au delà du cercle polaire, où les jours sont trop courts en hiver.

L’oiseau est omnivore, son alimentation naturelle se composant de graminées, d’invertébrés du sol, de quelques feuilles d’herbacées et de petits cailloux qui servent au broyage des aliments dans le gésier après avoir été imbibé de mucus dans le jabot. Les minéraux absorbés par voie digestive ont une importance dans le processus de fabrication de la coquille des oeufs.

Le coq se distingue de la poule par sa taille plus importante, par sa crête rouge vif sur la tête et ses barbillons plus développés, par ses ergots, par les coloris plus éclatants de son plumage et par sa queue en panache de plumes multicolores. Il se distingue aussi par son cri, le « cocorico ».

La combativité naturelle des coqs est mise à profit pour organiser des combats. Cette tradition fut très vivace dans le Nord de la France, où elle peut encore être observée, et en Belgique, où elle est désormais interdite. Elle perdure également dans le sud-est asiatique (Bali) ainsi qu’en Amérique centrale.

Le coq se distingue aussi par son cri, le « cocorico » dont la transcription phonétique varie selon les langues (cock a doodle do en anglais, quiquiriqui en espagnol, kokeriko etc.). Le chant du coq est inné, il n’est pas appris.

« Cocorico » est utilisé par certains Français pour manifester leur chauvinisme, probablement parce que ce cri est interprété comme une manifestation d’orgueil de la part du coq, mais surtout parce que le coq gaulois est l’emblème du pays.

photo prise a plougasnou le 24/06/2010 à 23h05