Il est présent partout sous forme de haies autour des maisons du littoral bigouden : il résiste très bien aux vents et aux embruns. A l’automne, ses minuscules fleurs dégagent un parfum très suave que, personnellement, je trouve assez proche de la fleur d’oranger.
http://nature.jardin.free.fr/arbuste/ft_elaeagnus_pu.html
Vos commentaires
# Le 3 novembre 2015 à 19:13, par Deuns
cela reste tout de même une espèce importée, au détriment d’une belle haie vive composée d’essences variées et locales.
qu’en pensent les p’tites bêtes du quartier ?
# Le 4 novembre 2015 à 09:01, par Mimi
Rassure-toi, il y a aussi des haies vives, mais les pruneliers sont beaucoup moins faciles à dompter pour les jardiniers du dimanche...
# Le 4 novembre 2015 à 18:04, par Deuns
mais, mais, les prunelliers n’ont pas besoin d’être domptés...
pourquoi intervenir systématiquement, pourquoi ce besoin de "contrôler" la nature ?
philosophique, tout ça...
# Le 4 novembre 2015 à 18:53, par Mimi
Ah, mais les prunelliers autour des carrés de légumes, ça piiiiique !
# Le 4 novembre 2015 à 18:57, par Deuns
Bon sang, mais c’est bien sûr...cochonnerie de nature !!!
pas accueillante du tout.
# Le 4 novembre 2015 à 19:06, par Mimi
Et cette année, pas de prunelles. Elles ont séché sur pied, il n’a pas assez plu, c’est un comble ! Pas de liqueur, ni de confiture ...
# Le 5 novembre 2015 à 07:37, par Deuns
en effet, pas assez plu, c’est plus qu’un comble...