La couleur des élytres de cet insecte explique l’étymologie de son nom qui vient du latin coccinus : « écarlate ».
La famille des Coccinellidae a été établie par Pierre André Latreille (1762-1833), en 1807.
Dans le langage courant, on appelle aussi la coccinelle « bête à bon Dieu », car elle est la meilleure amie des jardiniers, et surtout, parce que, selon une légende remontant au Moyen Âge, elle porterait bonheur1.
Les anciens prédisaient du beau temps lorsque la coccinelle s’envolait.
L’espèce la plus connue, Coccinella septempunctata, est rouge et possède sept points noirs sur les élytres. On trouve aussi des coccinelles à deux, cinq, sept, dix, quatorze, vingt-deux et même vingt-quatre points. Celle à vingt-deux points est nommée Thea 22-punctata.
On rencontre la coccinelle dès la fin de l’hiver jusqu’à la fin de l’automne, dans les jardins, champs et bois. Ces insectes ont généralement une génération par an, et parfois deux.
Les coccinelles sont très utiles dans la lutte contre les insectes considérés comme nuisibles, tels que les pucerons, et certaines cochenilles, qu’elles dévorent en grandes quantités.
Pendant la saison froide, les coccinelles se mettent en diapause, et trouvent refuge sous les pierres, sous l’écorce des arbres, dans les vieilles souches, dans la mousse, ou encore sous les feuilles de fleurs fanées comme les coquelicots etc.
source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Coccin...
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